Est-il nécessaire de disposer d'un plan B pour prévoir un éventuel échec en MLM ou bien dois-tu développer ton business sans te soucier d'assurer tes arrières ? Réponse dans cet article !
J'ai récemment écouté des vidéos de développement personnel.
Quelques-unes d'entre elles concernaient les plans (A, B...) à adopter dans son entreprise et l'obligation de n'élaborer qu'un plan A pour réussir dans sa vie professionnelle.
À l'inverse, le plan B n'était perçu par ces vidéos que par les plans des « losers » qui se déconcentreraient en investissant une partie de leur énergie à anticiper un éventuel échec.
Paraît-il que ces derniers doivent absolument viser le succès ou rien.
Qu'en est-il en marketing de réseau ?
Il est fort probable que tu pratiques le MLM à temps partiel, à côté de ton travail salarié, et que tu cherches à générer suffisamment de revenus pour pouvoir entreprendre à temps plein.
Ton plan A serait donc de pratiquer le marketing relationnel à côté de ton emploi le plus souvent possible jusqu'à ce que tu puisses quitter ton job et exercer ce que tu aimes vraiment.
Alors serait-ce raisonnable de prévoir un plan B en cas d'insuccès (un job complémentaire à ton emploi principal par exemple), ou dois-tu tout miser sur un même panier ?
Je pense pour ma part que tu dois construire un plan B par mesure de sécurité, et je vais tenter de t'expliquer pourquoi.
Allons-y.
Juste avant de commencer...
Est-ce que tu galères à produire un bon chiffre d'affaires avec ton MLM ? Est-ce que tu en as marre de multiplier en vain des posts et des MP sur les réseaux sociaux, auprès de personnes non intéressées ?
Tu as bien raison d'en avoir assez.
Car : Pas de prospects = pas de vente = pas de parrainage = 0 + 0, la tête à Toto !
Tu ignores ce qu'est le marketing de réseau ou la vente multiniveaux ? Alors je t'invite à lire cet article fondamental avant de passer à la suite.
Il est insensé de faire du MLM sans prévoir de plan B derrière
Un plan B te protège de facteurs extérieurs défavorables
Seul Dieu sait de quoi sera fait demain.
Ou, comme dirait ma mère, « il se passe toujours quelque chose [de négatif]. »
Si tu peux contrôler ton business en ce qu'il est en ton pouvoir de passer ou pas à l'action, les facteurs externes à ton entreprise MLM sont hors de ta portée.
Il est alors bon de prévoir (longtemps) en avance un plan B si jamais des facteurs extérieurs très défavorables (divorce, mort d'un proche, cas de force majeure...) ébranleraient tes ambitions de carrière en marketing relationnel.
Un parfait exemple est celui du Covid, que l'on ne présente plus.
Les entreprises de restauration et celles culturelles (entre autres) ont été en très grande difficulté en 2020 et 2021, suite aux différentes annonces de confinement et chômage partiel.
Crois-moi, beaucoup de celles qui ne disposaient pas d'un plan de secours ont été contraintes de mettre la clé sous la porte.
Les sociétés de marketing de réseau elles-mêmes, si elles ont en moyenne largement résisté à la crise (+ 1 % de croissance environ en 2020 et 2021) ont également dû s'adapter à de nouvelles réalités.
Je pense particulièrement aux compagnies de vente directe « à l'ancienne » qui ont été obligées de se digitaliser très rapidement afin de poursuivre leur développement en période de pandémie.
Ce genre de pépin extérieur peut largement t'arriver à échelle individuelle et te poser problème au point de quitter le MLM (au pire des cas).
Dans ce cas, il t'appartiendra d'avoir préparé de quoi faire autre chose qu'uniquement « travailler pour un patron » et « subir » ta vie.
« Ne dépendez jamais d'un seul revenu. Faites un investissement pour créer une deuxième source. »
J'apprécie énormément cette citation de Warren Buffet. Celle-ci s'applique évidemment au MLM.
L'une des priorités pour devenir financièrement indépendant est de diversifier ses revenus.
Tu ne peux pas uniquement être salarié sous peine de dépendre du chômage (au mieux) en cas de licenciement.
Mais tu ne peux pas non plus tout miser sur ton succès en marketing de réseau.
Combien même tu travaillerais d'arrache-pied, tes ventes et parrainages et tes commissions ne te sont nullement garantis.
C'est pourquoi ton plan A de vivre du marketing de réseau doit être suppléé du plan B de générer une troisième source de revenu (la première étant ton salaire et la deuxième l'argent que tu gagnes en MLM).
Tu peux même en développer une quatrième si tu penses en avoir le temps et la volonté.
Ta troisième source de revenu peut par exemple être un business en ligne hors MLM (ce n'est pas ça qui manque), et la quatrième des investissements en bourse.
À toi de choisir. Mais au plus tu diversifies tes gains (sans trop te disperser), au mieux ce sera.
Il n'empêche que tu dois te focaliser sur ton plan A comme si ta vie en dépendait
Loin d'être un « loser », tu fais preuve d'un pragmatisme et d'une prudence honorables en reconnaissant que ton business MLM a un risque d'échouer et nécessite que tu prépares une solution de secours pour palier cette éventualité.
Il n'en demeure pas moins que ton plan A est, comme son nom l'indique... ta priorité.
Si tu dédies trop de temps à élaborer tes plans de secours, tu risques d'oublier l'essentiel qu'est ton actuelle activité.
Crois-tu aux chances de succès de ton business ?
Es-tu convaincu de ta capacité à gravir les multiples rangs/grades de ton fournisseur ?
Alors bosse quotidiennement pour atteindre tes objectifs et surtout tes rêves.
Le plan B il faut y penser... mais le plan A c'est le b.a.-ba !
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Je te laisse sur cette magnifique phrase et t'invite à me donner ton avis sur la nécessité ou non d'un plan B dans l'espace commentaire !
Peut-on réussir en marketing de réseau tout en prévoyant des solutions de remplacement ?
Tu as reçu ma réponse sur la question. Je souhaite à présent connaître la tienne !
Avant que tu ne partes, j'ai quelque chose pour toi : une ressource offerte pour accumuler des prospects comme jamais dans ton business MLM et (enfin) gravir les rangs de ta société.
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